Trois calvaires se dressent à Wignehies :
En 1823 il y a deux calvaires l’un rue La haut et un autre à l’intersection des chemins de la Cloirière, de Wignehies à Féron et de Wignehies à Avesnes. Ce dernier apparaît déjà sur le plan terrier de 1772.
Il en figure 3 sur ce cadastre.
De nos jours Wignehies possède trois calvaires.
Il reste celui qui préalablement se situait à l’intersection des chemins de la Cloirière, de Wignehies à Féron et de Wignehies à Avesnes. Il fut restauré après la seconde guerre mondiale et la croix en bois fut remplacée par une croix en béton. Le Christ eut droit au cours d’une procession à une petite promenade installé sur un chariot tiré par deux chevaux. Ce chariot garni de tentures était conduit par Mr Clodomir CAVROT. Il se situait toujours au même endroit c’est-à-dire au carrefour des rues du Docteur Brunel, des Ecurgies et de la rue d’alsace Lorraine lorsqu’il fut déplacé ou plus exactement sa croix par la suite au cimetière lors de la construction de la cité de « la Cloirière ».
Source : L’association Mémoire vive de Wignehies.
Remerciements à Mme Marie France MICHAUX qui a gentiment transmis ces informations.
&&&&&
Un deuxième calvaire se trouve également au cimetière. A son pied se trouvent les tombes de Fidel LEBON curé de Wignehies de 1851 à 1876, de Pierre Augustin FERROT également curé de Wignehies de 1905 à 1914 et enfin celle de sœur Saint ALBERIC, directrice de l’ancien hospice de 1881 à 1905. Source : L’association Mémoire vive de Wignehies.
&&&&&
Enfin le calvaire du Rambucamp existe encore au même endroit. Deux oratoires non daté et non dédié sont disposés de part et d’autre.