La commune de Prisches se caractérise avec 5 calvaires sur son territoire :
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Il a été érigé en 1907 par Lucius BLONDEAU
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Le cadastre en 1883 section B n° 468 révèle qu’il appartenait à la veuve BERLAIMONT Bénoni.
BERLEMONT Bénoni né en 1810 à Grand Fayt, cultivateur fils de + Charles (+ en 1834) et de Marie Marguerite MARMIGNON marié le 09/04/1834 Prisches à Benoite Ismérie LENCLUD, cultivatrice à Prisches fille de + Joseph (+ en 1825) et de Marie Benoite WAROQUET 1 fille Exavérine née le 14/05/1838 + 04/01/1873 mariée en 1853 à BLONDEAU Pierre.
BERLEMONT Bénoni est décédée le 31/05/1881 rue de Cartignies. Benoite LENCLUD est décédée le 21/02/1894 rue des Eaux chez son petit fils Lucius BLONDEAU.
Merci à Michel Cail pour la mise à disposition du journal « Les Echos » d’Octobre 2016
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Jean Baptiste Carpentier, curé de Prisches de 1873 à 1892 fit reconstruire et agrandir le calvaire Cochet en 1878.
Initialement c’était un calvaire qui en 1885 est appelée par sa détentrice l’Eglise de Prisches chapelle eu égard probablement à sa transformation. Il a cependant gardé son nom de calvaire auprès des Prischois et le lieu dit s’appelle d’ailleurs « le calvaire Cochet ». On peut penser qu’il a été érigé initialement sous forme de calvaire au milieu du XVII è siècle par la famille COCHET Nicolas. Ce dernier, bourgeois de Prisches, était marié à Elisabeth FLAMENT. Il décéda en 1764 ne laissant qu’un fils qu’il n’a pas voulu reconnaître Louis. Celui-ci mourut célibataire en 1794.
Extrait du journal « Les Echos » d’Octobre 2016